A la recherche du temps perdu
Proust, ça vous pose un homme, de suite dans la cour des grands lecteurs, de ceux qui en ont, de la culture mais je vais vous décevoir mais je n'ai pas lu ce monsieur, juste Un amour de Swann, le plus court, amplement suffisant, dans tous les sens du terme.
Le titre me plaît bien ce soir et sied à mon état d'esprit. J'ai perdu mon temps dernièrement, lamentablement, trompé, aveuglé, l'homme mur s'est fourvoyé, ado attardé aux neurones squattes par quelques hormones retardataires. Celles-ci se sont enfuies piteusement, honteuses de leur erreur de casting, à la recherche d'un temps plus propice à leur épanouissement.
Voilà, madame, ce qu'il reste d'illusions, la fin d'un roman de gare, entre Flaubert et Chabrol, fort loin de Lelouch et de sa mélodie normande.