Atom heart war le 6 Mai 2022 à 08h39
Enième séquence photographique sur la plage des Rosaires, après celle de Port-Morvan, qui suivait le Cap Fréhel et Plougrescant. Si je reprends les images du printemps 2021, je retrouverai cette côte magnifique, "so beautiful", j'oubliais la côte de Granit rose et la Pointe de Plouha, le Cap d'Erquy. Je n'aurais pas fait le tour de ces spots de balade pour retraités chanceux, si je ne rajoutai pas Martin-Plage, la pointe du Roselier et les Nouëlles, immense grève par marée basse. Le viaduc de Douvenant récemment rénové assure une promenade digestive de bon aloi. Une flemme : contentez-vous d'un aller-retour en ville, le petit café au bar de la poste, un jour de marché, c'est un plus avec ses producteurs locaux, son atmosphère bon enfant loin de tout sentiment d'insécurité. Bien qu'il y en est certains qui évoquent une violence endémique avec des gens "pas comme nous". Je l'ai entendu à la terrasse d'un café mercredi matin.
Les tractations politiques alimentent la gazette, donnent des états d'âme à certains et accouchent d'une souris. En juillet, après les élections, l'été français reprendra ses droits, la météo redeviendra le sujet de conversation numéro un, la guerre en Ukraine passera au second plan sauf si le malade du Kremlin décide de sortir de la guerre en y entraînant tout le monde. La télé russe aux ordres échafaude des jeux sur le temps qu'il faudrait à l'arme atomique russe pour raser Londres, Berlin ou Paris. Ils n'ont pas envisager de riposte sur une vitrification de Moscou ou de Saint-Pétersbourg, suivie par l'anéantissement d'une ville américaine.
Nous vivons dans une époque moderne.
Bonjour chez vous
Bises