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28 Mar

La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023

Publié par gilles cochet  - Catégories :  #HUMEURS, #ACTUALITE

La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023
La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023
La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023
La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023
La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023
La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023
La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023
La fin est toujours marquée par les moyens que l'on emploie pour y parvenir / Il est 9h05 le 28 Mars 2023

J'ai aperçu un titre de presse mentionnant le néologisme suivant : Macronisme originel.

Vous fumez la moquette ou l'humour au second degré sévirait-il au sein de ce journal de référence ? Comment la quête de pouvoir d'un ancien employé de banque pourrait donné naissance à un mouvement de pensée quelconque, quand j'écris pensée, je m'esclaffe, je me gausse quelque peu. La banque n'a pas vocation à entretenir des penseurs ou des philosophes, elle est là pour "faire du fric", expression triviale qui n'a rien d'un concept éthéré. Le macronisme c'est plus proche de "Touchez pas au grisbi" ou de la "Folie des grandeurs" que de Hamlet.

L'intelligence du monsieur, vanté par ailleurs, n'est que calculatrice et n'a, malheureusement pour lui, pas coché la case "lucidité"et, malheureusement pour nous, la case "humilité". Vénal ? Peut-être.

Il n'y a rien de fondamental dans une quête de pouvoir, il y a le chemin, les moyens employés, toutes choses déjà pratiquées de multiples fois. L'expérience accumulée sert peu, le Rastignac d'Amiens n'a pas lu ses classiques, pas besoin, il était déjà au lycée imbu de sa personne, portant en étendard cette moue indiciblement méprisante à l'égard de qui voulait l'écouter, faire des phrases est une nature première chez cet homme et ça plaît. Le vide des propos est le propre du discours médiatique, j'émets une coquille vide de sens, les médias jouent avec, les flatteries confortent la démarche, l'argent afflue, les parrains se penchent sur le berceau de ce garçon qui présente bien, sans trop de scrupules, avec suffisamment d'ego pour ne pas douter de ce qu'il professe. C'est notre homme, se disent les grands patrons à l'heure d'une social-démocratie agonisante.

Six années ont passé, rien n'a changé sauf le trait de caractère propre aux enfants gâtés : le raidissement quand le garçon n'a pas ce qu'il veut, quand on ne l'écoute plus. Il pourrait bouder, non, il envoie la police. C'est formidable le pouvoir d'un président de la république sous la 5ème république. De Gaulle disait : 

La France, c'est moi.

Macron dit :

Ce n'est pas le peuple qui gouverne.

Il faut oser proférer de telles paroles quand on a été élu par une minorité, en repoussoir d'un parti qui faisait encore peur l'an dernier. C'est moi qui gouverne et personne d'autre. La realpolitik se vautre dans l'illégitimité, elle n'en a cure. Il n'y a pas d'élection avant plusieurs années, il le sait.

Allez, bonne journée

Bises et gros bisous

Quelques images de Liverpool, pas si lointaines et, en musique, l'utopiste-roi, un hymne, pour moi...

 

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