Avis paru dans BABELIO La lecture de cette auteure me porte toujours loin d'une agitation un peu vaine dont nous sommes coutumiers aujourd'hui. La pérennité qui se dégage de son écriture nous emmène sur des chemins où les êtres passent, sont passés et...
Les fines analyses de nos amis journalistes me laissent souvent songeur dans l'art de noyer le poisson, de faire gonfler tel ou tel fait sans importance et de passer à côté des évidences. Les mesures gouvernementales en cours sont ahurissantes dans le...
Avis paru sur BABELIO Il est de bon ton d'encenser Margaret Atwood en ces temps d'adaptation télévisuelle de ses oeuvres mais là, non, franchement, c'est laborieux. Désolé de ne pas rentrer dans une dithyrambe, elle n'a de toutes façons pas besoin de...
Je suis un être profondément négatif. Je ne vois que le verre à moitié vide, que les gens malheureux, la misère du monde, les guerres, les catastrophes naturelles, tremblements de terre, ouragans, les migrants crasseux fuyant la violence et la torture,...
Avis paru sur BABELIO J'apprends que cet homme est mort en 1979. J'ai respiré le même air que lui. Pour moi, il appartenait à l'Histoire, à la monstrueuse excroissance qu'était le nazisme, à son côté le plus obscur, aux senteurs putrides que seul l'espèce...
Avis de lecture paru sur BABELIO Une belle amitié qui perdure est rare et difficile à raconter, peur de trahir la pérennité, cette constance des sentiments sans laquelle nous ne sommes qu'une suite de moments fugitifs. Partager ces moments, de loin en...
La rentrée scolaire, c'est fait. Les médias nous resservent la même soupe tous les ans, normal sauf que moi, à titre personnel, je ne regarde plus la grand messe de 20 heures, je ne peux tout simplement plus supporter ce traitement de l'info, sentimentalo-pseudo-analytique,...
C'est la rentrée scolaire. Ceci me paraît loin. Au delà d'un certain âge, vous vous sentez peu concerné par ce qui agite l'essentiel de la population, au moins celle qui fait du bruit. Ensuite, vous quittez le monde du travail et là, je n'ose imaginer...