La foudre de PIERRIC BAILLY aux Ed POL
Avis paru dans BABELIO
Livre abandonné, sentant venir une péripétie prévisible qui risque de traîner en longueur. A cela s'ajoute un personnage central pas vraiment sympathique. L'intérêt jusqu'à la page 205 réside dans l'importance qu'à revêtu l'ami retrouvé, si l'on peut dire, dans la construction de ce personnage principal. Le miroir tendu révèle les manques, provoque l'amertume ou l'aigreur et aide à se construire.
Tout ceci est intéressant si ce n'est que nous sommes noyés par les états d'âme du monsieur en question.
200 pages de plus, non merci. Les éditeurs ont un rôle à jouer, de dire que faire court aide à la compréhension et rend plus fort le propos.
Je ne suis qu'un lecteur.