Dehors ! / Il est 07h16 le 1er Février 2023

Canned Heat - On The Road Again [HQ]

https://www.youtube.com/watch?v=qRKNw477onU

Court papier aujourd'hui, histoire de saluer l'amplification du mouvement contre l'allongement de la durée du travail. Je pense très rapidement à ces gens qui bossent après la date légale de départ. Votre vie a dû être, soit extraordinairement épanouissante au point de continuer à oeuvrer pour la communauté, soit tellement vide à côté, qu'il vous faut la remplir sous peine de sombrer dans le vide d'une existence sans but. Dans les deux cas, laisser la place à celles et ceux qui veulent découvrir la vie, qui, à 20 ans, ont soif d'embrasser la multiplicité des activités humaines.

Je prends la route aujourd'hui, d'où la chanson emblématique en tête de ce blog journalier.

Le prince de l’Élysée ignore la populace qui défile dans les rues, sous les ors de la République. L'histrion, le félon de Hollande, le Brutus du P.S a kidnappé la République avec à sa botte les multiples petites frappes issues de partis politiques d'un autre temps, trop contents de pouvoir quémander un strapontin. En se regardant dans le miroir le matin, tous ces courtisans me rappellent certaines pratiques des cours monarchiques qui sévissaient en Europe durant des siècles, entre mariages arrangés, intrigues de palais et autres petits arrangements entre amis.

Se moquer du physique ne se fait pas, ce n'est pas bien, on peut toutefois affirmer, sans trop de risque d'être contredit, qu'à partir d'un âge mûr, les rides d'expression s'installent sur le visage, reflets de l'âme, s'ils en ont une, affirmations d'expression du quotidien. Le rictus de mépris, quand le naturel prend le dessus, hors champ des caméras, habille certains êtres comme d'autres ont un visage rayonnant de simplicité ou de générosité.

Je ne peux m'empêcher d'y voir le fond du problème :

Le type qui squatte le palais de l'Elysée a les expressions que j'ai tant détestées quand j'étais enfant ou adolescent, de ces élèves prétentieux, vaniteux et premiers de la classe, de ceux qui vous toisent, sachant qu'ils ne seront jamais à la remorque, qu'ils seront devant, les premiers de cordée, comme il disait, fier de son bon mot.

Nous avons élu le délégué de classe Macron. Il serait temps qu'il retourne à l'anonymat des salons de banque d'affaires d'où il n'aurait jamais dû sortir.

La responsabilité de Mr Hollande, pitoyable président, est écrasante.

Bises et gros bisous

Bonne journée