CO2 mon amour / Il est 8h31 le 27 Juin 2023

John Barry - Theme From The Persuaders (1971)

https://www.youtube.com/watch?v=jBtLFRFb1kQ

La musique du matin peut refléter l'humeur au lever. Elle est souvent le fruit du hasard, la bonne pioche dans la discothèque infinie à notre disposition sur la toile. Une série des années 60-70 fit notre bonheur. Elle est datée, notamment dans les rapports homme-femme. Les séducteurs en vadrouille draguent tout ce qui porte jupon, un brin macho, et les femmes sont des potiches, souvent, jolies, toujours. J'arrête, je sens les revendications affleurer.

Les images de 2014 sont restées invisibles, elles apparaissent.

L'actualité n'existe pas pour certains.

Je le remarque dans les préoccupations du quotidien. C'est fou comme l'on peut remplir une existence avec des petits riens, des détails qui tuent.

Je ne regarde plus, je n'y peux rien, alors !

S'intéresser à la vie des peuples nomades d'Asie centrale ne va pas changer ta vie ou relever que le CO2 met des milliers d'années à disparaître car il est chimiquement stable. Je m'arrête cinq minutes là-dessus. Si nous arrêtons aujourd'hui de produire du CO2, cela ne changera pas grand chose aux phénomènes climatiques en cours. L'inertie de ce composant est tel que la quantité produite depuis la révolution industrielle sera encore là dans plusieurs siècles et nous aurons disparu depuis longtemps quand ce que nous avons produit se sera dissipé. ( Vidéo )

C'était le paragraphe du jour.

Le manque de candidats au métier d'instituteur est flagrant, il restera des postes vacants sur lequel on placera des contractuel(le)s. La philosophie n'a rien à voir avec ce constat, le salaire peut-être et la dévalorisation. Depuis le temps que l'on tape sur la tête des enseignants et de leurs deux mois de vacances, il n'est plus valorisant d'enseigner aux autres, et puis, il y a Internet. Le métier de vigile a plus d'avenir et il paraît que Darmanin embauche chez les CRS. 

Je fabule et me laisse aller à de vagues anathèmes stériles.

Nous étions une dizaine de personnes sur la plage hier, beau temps, belle mer.

Tant pis pour les autres.

Bises et gros bisous